Pour réécouter en intégralité l’interview de Mimi Fabiola, cliquez sur le lien ci-dessous

Ci-dessous, quelques attitudes de Mimi Fabiola entendues lors de cette interview:

 » Étant toute petite, les femmes de l’ouest venaient danser chez nous. Donc l’ouest a presque la même culture que celle des pygmées. »

« Je ne peux pas bouger avec la Covid 19 j’aimerais pouvoir revenir au Cameroun pour enregistrer mon album de huit titres »

« Claude Ndam a été en quelque sorte mon mentor « 

« Claude Ndam a été en quelque sorte mon mentor il m’a appris à chanter sous une guitare acoustique. Il a été en quelque sorte mon papa et je pense reprendre une chanson qu’il m’a laissé pour lui rendre hommage. »

« Ici (en Europe, l’actualité et les activités) c’est mort et c’est très difficile pour ces artistes qui ne vivaient que de musique. Tout est arrêté ici et beaucoup reprennent le retour vers l’Afrique, vu que ce n’est que les africains qui continuent avec leurs activités en Afrique. »

« J’ai voulu qu’on retrouve de l’afrobeat dans ce projet, car je suis de la vieille école. »

« C’est vrai que j’ai commencé avec le Bikutsi et c’est lorsque je suis arrivée au Royaume Uni que j’ai découvert qu’on n’y écoute pas nos chansons africaines. Les anglais préfèrent la musique qui vient de leurs colonies. »

« Je crois que j’ai atteint la maturité. Et avec mon âge, je ne peux pas revenir sur le style des jeunes. »

« La chanson c’est une reprise du guitariste Charles Ewandje épée pour ressortir la diversité de notre culture le fait que j’ai chanté en Douala alors que je suis originaire de la Haute Sanaga. »

Transcription: Alice Manga